dimanche 30 septembre 2007

LAVAUDIEU





43100
Situation géographique :
A 10 km de Brioude.
C'est là que Saint-Robert, fondateur de La Chaise-Dieu, construisit vers 1066, un monastère pour les religieuses bénédictines, qui s'y succédèrent jusqu'à la Révolution.
A l'écart de la circulation, dans un environnement de prairies et de pentes boisées, Lavaudieu apparaît comme un vieux village baigné par les eaux claires de la Senouire.
Maisons vigneronnes, rues étroites et pittoresques, belle place devant l'Abbaye - ornée d'une croix en ferronnerie du XVIIIe siècle - accueillent le visiteur.

L'Eglise :
XI-XIIe siècle. Bas côté nord du XVIe. aménagement au XVIIIe, s'accordant bien avec le souvenir laissé par le Cardinal De Rohan exilé à La Chaise-Dieu après l'affaire du Collier.
Flèche du clocher tronquée à la Révolution.
Piéta en pierre polychrome (XVe)
Surtout remarquable ensemble de peintures murales d'influence italienne (XIVe) .
Scènes historiées en alternance avec des draperies gothiques Dormition de la Vierge, Evangelistes, Passion du Christ, Ravissement de la Madeleine par quatre anges...
Unique et très curieuse allégorie de la mort noire : femme drapée à la manière de Giotto, symbolisant la peste dans la société médiévale.
Dans le choeur : le martyre de Sainte Ursule (XVIe)

Le cloître :
Le seul que l'Auvergne ait conservé. Ses arcades sur colonnettes simples ou jumelées à chapiteaux historiés, son sol pavé, son étage supérieur en auvent sur poteaux de chêne, lui donnent beaucoup de charme : accord subtil entre la pierre et l'indicible de l'esprit et de l'âme...

Le réfectoire :
Impressionnante peinture murale d'influence byzanthine (XIIe) : Christ juge encadré par des symboles de quatre Evangilstes : Vierge en majesté entourée d'anges adorateurs et des apôtres.

La Maison des Arts et des Traditions Populaires de la Haute-Loire :
Nombreux objets de la vie quotidienne . Animation culturelle.

Sur la Senouire, Lavaudieu a su conserver, avec ses rues étroites et ses maisons traditionnelles, son ancien cadre et possède un remarquable cloître à deux étages, unique en Auvergne.
Cela vaut bien le détour.
C'est un des plus beaux villages de France.

samedi 29 septembre 2007

LA BESSEYRE SAINT MARY

43170

Une stèle à la mémoire de Jean Chastel, le vainqueur de la Bête, se trouve dans le village de La Besseyre-Saint-Mary.
http://membres.lycos.fr/candelight/



Jean Chastel naquit le 31 mars 1708 au Village de Darnes paroisse de La Besseyre-Saint-Mary.Fils d’agriculteur, il épouse le 22 février 1735, Anne Charbonnier. Ils auront neuf enfants. Jean Chastel exerça la profession de « Cabaretier » dans son village ; il était également considéré comme chasseur professionnel, braconnier. Un peu marginal, il fit même un bref séjour à la prison de Saugues. Le 19 juin 1767, au cours d’une chasse organisée par le Marquis d’Apchier, Jean Chastel tua un loup au lieu dit « La Sogne d’Auvers » à proximité de la forêt de la Ténazeyre paroisse de Nozeyrolles (Auvers actuellement). Depuis ce jour-là, la terrible bête du Gévaudan avait cessé de sévir dans le pays. Jean Chastel ne fût guère récompensé de son acte. Il emmena sa bête à Versailles où son odeur incommoda le roi qui la fit enterrer sur le champ sans accorder la moindre prime au chasseur. Il mourut en 1790.

AUVERS






43300 AUVERS





La statue de Philippe Kaeppelin à Auvers représente la bataille de Marie-Jeanne Vallet contre la bête du Gévaudan.



C'est à Auvers en Haute-Loire que se situe la maison de la Bête. C'est un lieu où sont présentées des expositions sur le thème de la bête du Gévaudan.


(Un bonjour amical à Bernard SOULIER)


La statue de Philippe Kaeppelin à Auvers représente la bataille de Marie-Jeanne Vallet contre la bête du Gévaudan

La Bête du Gévaudan

Cette légende inspira de nombreux écrivains, ainsi que de nombreux scientifiques, désireux de connaître l'origine de cette Bête.

On raconte qu'au printemps 1764, une bête, pareille à un loup, sévit dans le Gévaudan, dévorant femmes et enfants.

Le roi, averti de l'affaire, envoie ses dragons afin de tuer cette Bête. Mais rien n'y fait et cette dernière déjoue tous leurs pièges. Elle semble tellement humaine que les habitants parlent de sorcellerie…

Louis XV promet alors une grande récompense à qui tuera la Bête, besogne soi - disant accomplie par un lieutenant de chasse. Mais quelques mois plus tard, les crimes reprennent de plus belle. Le roi, sentant la victoire lui échapper, se refuse à l'affaire de la Bête du Gévaudan.

Le 19 Juin 1767 un vieux paysan tue la Bête au pied du Mont Mouchet.

La Bête devint si populaire qu'elle est rentrée dans les mœurs et même dans l'architecture des villes.

Elle est devenue le mythe représentatif des Cévennes, au point d'être une œuvre architecturale: la Bête du Gévaudan, à Marvejols.

Sous le terme de « Bête du Gévaudan », on regroupe une série d'évènements qui eurent lieu du 30 juin 1764 au 19 juin 1767. Durant cette période, plusieurs dizaines d'attaques mortelles et de nombreuses autres, non mortelles, furent attribuées à un animal (considéré d'abord comme un loup) ou à plusieurs animaux, dans le Gévaudan (centre de la France).

Les attaques

La première victime officielle de la Bête fut Jeanne Boulet, jeune fille âgée de quatorze ans, tuée le 30 juin 1764, au village des Hubacs (près de Langogne) dans la paroisse de Saint-Étienne-de-Lugdarès en Vivarais. La victime fut enterrée « sans sacrements », n'ayant pu se confesser avant sa mort. On relève toutefois sur la consignation de sa mort par le curé de la paroisse mentionne[1] qu'elle fut victime de la bête féroce, ce qui suggère qu'elle ne fut pas la première victime réelle mais seulement la première déclarée... Suivra un carnage qui va terroriser la région pendant trois ans.

Les conjectures

Certains supposent (sans qu'aucune preuve ait pour le moment été apportée) qu'un homme avait dressé un ou plusieurs croisements de chiens et de loups en leur apprenant à se nourrir de chair humaine. Certains indices pourraient laisser penser que cet homme ou ces hommes auraient été des détraqués sexuels (selon des témoignages non officiels, la "bête" a déshabillé certaines de ses victimes). Plusieurs cas de décapitation sont rapportés. Parmi les suspects figure une famille défavorablement connue dans la région, les Chastel. L'emprisonnement des Chastel (de courte durée, pour des motifs d'outrage aux autorités venues chasser la bête) n'eut cependant aucune incidence notable sur les attaques.

D'autres hypothèses évoquent plus simplement un ou des animaux sauvages : loups, hybrides de loups et de chiens, hyène, ours, lion, singe, échappés des mains de leur conducteur. À moins que certains criminels n'aient profité des circonstances pour mettre leurs propres crimes sur le compte d'animaux.

La traque

Devant l'ampleur de l'affaire, les autorités se décidèrent à faire appel à divers chasseurs afin d'organiser des battues auxquelles participa de plus en plus de monde. Dragons, louvetiers et porte-arquebuse du roi se succédèrent alors pour « courir sus à la Bête ». Les résultats furent, à tout le moins, décevants. Il faudra attendre le 20 septembre 1765 pour qu'un grand loup soit abattu par le porte-arquebuse du roi, François Antoine (souvent surnommé, par erreur, de Beauterne). La « Bête », ou du moins ce qui en tenait lieu puisque l'animal tué était bien un loup, fut naturalisée et envoyée à Versailles et déposée au Cabinet du Roi, futur Muséum national d'histoire naturelle. Pour le roi Louis XV et la Cour, l'affaire était close...

Le calme sembla revenir, mais en décembre, les crimes reprenaient. Les autorités se désintéressaient alors de l'affaire, concluant à des coïncidences. Le pays du Gévaudan allait devoir vivre presque encore deux ans avec « sa Bête », celle-ci ne faisant cependant « que » six morts en 1766 et dix-huit durant les six premiers mois de 1767 malgré les continuelles battues (celles de 1765 comptèrent jusqu'à trente mille personnes, paysans pour la plupart). Enfin, le 19 juin 1767, au cours d'une chasse dans les bois de la Ténazeyre, au lieu-dit la Sogne d'Auvers, c'est Jean Chastel (lequel avait été précédemment emprisonné ainsi qu'il a été dit), un homme du hameau de la Besseyre-Saint-Mary, qui abat un animal ressemblant à un loup d'une taille très importante. Par la suite, des romans relatèrent l'histoire, disant cet homme étrange et le soupçonnant de sorcellerie, lui faisant employer une balle bénite. Il est, en revanche, avéré que les agressions cessèrent à compter de cette date.

Les mystères

Outre le fait que la Bête ait fait un nombre considérable de victimes, de nombreux détails la concernant sont curieux :

Sa nature morphologique : c'est très certainement un canidé, mais d'aspect inhabituel. Il pourrait s'agir d'un hybride de chien et de loup (cf rapport du notaire Marin, rédigé dans les heures qui ont suivi la mort de la Bête).

Sa relative invulnérabilité : le manque d'efficacité des armes a fait supposer qu'elle a pu porter parfois une cuirasse, par exemple faite en peaux de sanglier.

Son ubiquité : la bête est aperçue dans un très faible intervalle de temps en des lieux distants de plusieurs kilomètres les uns des autres. Ces distances, bien qu'extrêmes dans certains cas, restent cependant envisageables pour un seul animal.

Sa familiarité, son audace : elle ne semble pas craindre l'homme. Au moins vingt-deux fois, des victimes ont été attaquées en plein village et presque toutes les attaques ont eu lieu de jour.

Son agressivité : la bête ne semble pas attaquer uniquement sous l'impulsion de la faim et fait preuve d'un grand acharnement.

Son agilité : exceptionnelle aux yeux des témoins.

La mise en scène humaine dans certains meurtres (habits disposés près de la victime selon des sources non officielles ni authentifiables).

Tentatives d'explication

Malgré le fait que les sources d'époque soient parfois peu fiables ou mal interprétées, notamment sur les lieux et les scènes exactes des carnages, un certain nombre de points obligent à privilégier un faisceau de probabilités qui dessinent un tableau s'approchant sans doute de la réalité.

L'hypothèse surnaturelle n'est pas prise en compte.

Les agressions ne peuvent pas toutes être l'œuvre d'un homme (toutes les personnes ayant survécu à une attaque ont décrit un animal dans les témoignages authentifiés).

Il semble que les agressions ont diverses origines, attaques classiques de loups, mais surtout attaques d'une bête particulière. On ne peut évidemment exclure, mais cela n'est pas prouvé, des attaques d'un ou de plusieurs criminels profitant du contexte.

L'hypothèse d'une mise en scène dans le cas de la bête tuée par François Antoine (utilisant un loup de taille spectaculaire amené du zoo de Paris) ne repose que sur des conjectures sans preuves. En effet, le zoo de Vincennes est né de l'exposition coloniale de 1931 et la ménagerie du Jardin des Plantes n'a vu le jour que sous Napoléon Ier...

La bête tuée par Jean Chastel pourrait avoir été un animal apprivoisé et entrainé à tuer, selon certaines théories ; en tout cas, sa description est, de toute évidence, celle d'un canidé.

Aucune preuve ne permet d'accuser la famille Chastel ni la noblesse locale qui aurait couvert ses agissements.

L'usage du terme "bête" (au lieu de "loup") par les témoins, alors que cet animal bien connu dans les campagnes de l'époque aurait dû être identifié sans conteste, est plus que troublant. De plus, les loups chassent généralement en meute, et il est admis par les spécialistes que les attaques de loups contre des êtres humains sont très rares. Le loup, même affamé, craint en effet l'humain, surtout s'il est seul face à lui.

Le fait que toutes les victimes n'ayant pas réchappé aux attaques aient été des femmes et des enfants, s'il peut de prime abord faire penser à l'œuvre d'un tueur sadique, s'explique sans doute par les circonstances de l'époque : ces victimes - souvent très jeunes - gardaient seules les troupeaux et constituaient donc des proies plus faciles que les hommes travaillant, eux, la plupart du temps en groupe et munis d'outils (faux, fourche, hache, ...) pouvant aisément se transformer en armes de défense.

Quoi qu'il en soit, Jean Chastel a tué une bête reconnue comme étant LA Bête par de nombreux témoins, y compris des rescapés d'attaques, dont la description mentionne qu'elle fait penser à un loup mais n'en est pas un, et les attaques ont cessé à compter de ce moment...

Pourtant, en 1819, dans un petit fascicule vendu un franc au Jardin des Plantes, on pouvait lire: « Description de ce qu’il y a de remarquable à la Ménagerie et au Cabinet d’Histoire Naturelle, concernant la vie et les habitudes des Animaux féroces qui sont renfermés tant à la Ménagerie que dans la Vallée Suisse : Suivie des Curiosités qui se trouvent au Cabinet d’Histoire Naturelle. Imprimerie J. MORONVAL, Paris, 1819. » aux pages 5 et 6 : « 5. La Hyenne barrée d’Orient.- ... Ce féroce et indomptable animal est rangé dans la classe du loup cervier ; il habite l’Egypte, il parcourt les tombeaux pour en arracher les cadavres ; le jour, il attaque les hommes, les femmes et les enfants, et les dévore. Il porte une crinière sur son dos, barrée comme le tigre royal ; celle-ci est de la même espèce que celle que l’on voit au cabinet d’Histoire Naturelle, et qui a dévoré, dans le Gévaudan, une grande quantité de personnes ». Ce petit fascicule est toujours consultable à la Bibliothèque Centrale du Muséum National d’Histoire Naturelle, 38 rue Geoffroy Saint Hilaire Paris 5 où il est archivé sous la cote : 8° Rés. 48.

Cet animal est donc clairement identifié comme une hyène rayée et non comme un loup. Ce spécimen naturalisé n'est plus présent dans les collections du Muséum National d'Histoire Naturelle. Quid de l'animal "que l'on voit au cabinet d'Histoire Naturelle, et qui a dévoré, dans le Gévaudan, une grande quantité de personnes" ? Le loup tué par François Antoine ? La bête tuée par Jean Chastel ? Le mystère reste entier ...

voir :

http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%AAte_du_G%C3%A9vaudan

Les sites qui en parlent :

http://shoes.club.fr/index.htm

http://amilozere.free.fr/lozere/page601.htm#top

http://www.linternaute.com/sortir/sorties/nature/lieux-mysterieux/gevaudan/gevaudan.shtml

http://www.lozere-gite.com/LaBeteGevaudan.html

http://www.biblisem.net/narratio/lenotgev.htm

http://betedugevaudan.free.fr/

http://www.midyloups.com/

http://bdgpointcom.neuf.fr/

http://www.lecros.com/

http://www.alchimia-magazine.com/gevaudan.htm

http://e.tournaire.free.fr/gevaudan/index.html

http://villagederocles.free.fr/labete.html


http://www.aurelle-verlac.com/bete/bete.htm

http://crdp.ac-bordeaux.fr/cddp33/attirelire/valise_pdf/B%C3%AAteduGevaudan.pdf

http://jeuxsoc.free.fr/index2.php?principal=/b/beteg.htm&param=

http://www.linternaute.com/sortir/sorties/nature/lieux-mysterieux/gevaudan/gevaudan.shtml

http://www.linternaute.com/humour/dossier/06/enigmes-historiques/gevaudan.shtml

http://www.tao-yin.com/bete-gevaudan/

http://perso.orange.fr/cryptozoo/dossiers/gevaudan.htm

http://www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm

http://amilo.perso.orange.fr/lozere/page601.htm



PALAIS IDEAL DU FACTEUR CHEVAL

facteur-cheval@ladrome.fr
www.facteurcheval.com
Tél : 04 75 68 81 19
Le village
HAUTERIVES
26390


Joseph Ferdinand Cheval, plus connu sous le nom de Ferdinand Cheval et plus encore sous le nom du facteur Cheval, (19 avril 1836 à Charmes-sur-l'Herbasse, Drôme, France19 août 1924 à Hauterives, Drôme) était un facteur français qui passa 33 ans de sa vie à édifier un « Palais idéal » et huit années supplémentaires à bâtir son propre tombeau, tous deux considérés comme des chefs-d'œuvre de l'art naïf.

La suite sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_Cheval

Site officiel :
Le quiz du Facteur Cheval dans le journal de 13h de TF1
Télécharger le Quiz DécouverteTélécharger le Quiz Connaisseur

Vous pouvez écouter ou télécharger une visite guidée du Palais Idéal du Facteur Cheval
Pour écouter la visite...

d'autres sites :
http://jacquesmottier.online.fr/pages/palaisideal.html
Visite en Video (sur YouTube)
Video :
Coco peintre rend hommage au facteur Cheval et à son palais Idéal (Dailymotion)

DISTILLERIE PAGES

pages-verveine@verveine.com
www.verveine.com/
RN88 - Sortie Z.I. de Blavozy Avenue René Descartes
Saint-germain-Laprade
43700


La Verveine du Velay est un emblême du patrimoine gastronomique de l' Auvergne.
A base de plus de 32 plantes - dont la verveine, entièrement cultivée sur les Monts du Velay, sa formule découverte en 1859, est transmise depuis plusieurs générations, afin de perpétuer un savoir-faire traditionnel.
Lors de la visite guidée, vous découvrirez, outre l'univers mystérieux de la distillerie, les secrets de fabrication de la Verveine du Velay Pagès. Vous connaîtrez tout du métier de "liquoriste" : vous suivrez le parcours des plantes, leur lente transformation en liqueur.
Puis, vous découvrirez des objets anciens appartenant à la collection privée de la Distillerie, et la place de la Verveine du Velay dans la gastronomie.
Une dégustation de la Verveine du Velay vous permettra d'apprécier la célèbre liqueur.
Enfin, pour le plaisir de chacun, les produits de la Distillerie Pagès vous seront proposés dans la boutique.
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
Mais personne ne vous conseille d'en abuser !

CINEMA " LE PARIS "

Tél : 04 71 50 14 12
Place de la Liberté
BRIOUDE
43100

Deux salles de cinéma.

Petit cinéma qui mériterait d'être encore beaucoup plus fréquenté.

MUSEE FANTASTIQUE DE LA BETE DU GEVAUDAN

Tél : +33471776422
Rue des Tours Neuves
Saugues
43170


Le musée de la Bête à Saugues
http://site.voila.fr/macbet

Cette légende inspira de nombreux écrivains, ainsi que de nombreux scientifiques, désireux de connaître l'origine de cette Bête.
On raconte qu'au printemps 1764, une bête, pareille à un loup, sévit dans le Gévaudan, dévorant femmes et enfants.
Le roi, averti de l'affaire, envoie ses dragons afin de tuer cette Bête. Mais rien n'y fait et cette dernière déjoue tous leurs pièges. Elle semble tellement humaine que les habitants parlent de sorcellerie…
Louis XV promet alors une grande récompense à qui tuera la Bête, besogne soi - disant accomplie par un lieutenant de chasse. Mais quelques mois plus tard, les crimes reprennent de plus belle. Le roi, sentant la victoire lui échapper, se refuse à l'affaire de la Bête du Gévaudan.
Le 19 Juin 1767 un vieux paysan tue la Bête au pied du Mont Mouchet.
La Bête devint si populaire qu'elle est rentrée dans les mœurs et même dans l'architecture des villes.
Elle est devenue le mythe représentatif des Cévennes, au point d'être une œuvre architecturale: la Bête du Gévaudan, à Marvejols.

Sous le terme de « Bête du Gévaudan », on regroupe une série d'évènements qui eurent lieu du 30 juin 1764 au 19 juin 1767. Durant cette période, plusieurs dizaines d'attaques mortelles et de nombreuses autres, non mortelles, furent attribuées à un animal (considéré d'abord comme un loup) ou à plusieurs animaux, dans le Gévaudan (centre de la France).

Les attaques

La première victime officielle de la Bête fut Jeanne Boulet, jeune fille âgée de quatorze ans, tuée le 30 juin 1764, au village des Hubacs (près de Langogne) dans la paroisse de Saint-Étienne-de-Lugdarès en Vivarais. La victime fut enterrée « sans sacrements », n'ayant pu se confesser avant sa mort. On relève toutefois sur la consignation de sa mort par le curé de la paroisse mentionne[1] qu'elle fut victime de la bête féroce, ce qui suggère qu'elle ne fut pas la première victime réelle mais seulement la première déclarée... Suivra un carnage qui va terroriser la région pendant trois ans.


Les conjectures
Certains supposent (sans qu'aucune preuve ait pour le moment été apportée) qu'un homme avait dressé un ou plusieurs croisements de chiens et de loups en leur apprenant à se nourrir de chair humaine. Certains indices pourraient laisser penser que cet homme ou ces hommes auraient été des détraqués sexuels (selon des témoignages non officiels, la "bête" a déshabillé certaines de ses victimes). Plusieurs cas de décapitation sont rapportés. Parmi les suspects figure une famille défavorablement connue dans la région, les Chastel. L'emprisonnement des Chastel (de courte durée, pour des motifs d'outrage aux autorités venues chasser la bête) n'eut cependant aucune incidence notable sur les attaques.
D'autres hypothèses évoquent plus simplement un ou des animaux sauvages : loups, hybrides de loups et de chiens, hyène, ours, lion, singe, échappés des mains de leur conducteur. À moins que certains criminels n'aient profité des circonstances pour mettre leurs propres crimes sur le compte d'animaux.

La traque

Devant l'ampleur de l'affaire, les autorités se décidèrent à faire appel à divers chasseurs afin d'organiser des battues auxquelles participa de plus en plus de monde. Dragons, louvetiers et porte-arquebuse du roi se succédèrent alors pour « courir sus à la Bête ». Les résultats furent, à tout le moins, décevants. Il faudra attendre le 20 septembre 1765 pour qu'un grand loup soit abattu par le porte-arquebuse du roi, François Antoine (souvent surnommé, par erreur, de Beauterne). La « Bête », ou du moins ce qui en tenait lieu puisque l'animal tué était bien un loup, fut naturalisée et envoyée à Versailles et déposée au Cabinet du Roi, futur Muséum national d'histoire naturelle. Pour le roi Louis XV et la Cour, l'affaire était close...
Le calme sembla revenir, mais en décembre, les crimes reprenaient. Les autorités se désintéressaient alors de l'affaire, concluant à des coïncidences. Le pays du Gévaudan allait devoir vivre presque encore deux ans avec « sa Bête », celle-ci ne faisant cependant « que » six morts en 1766 et dix-huit durant les six premiers mois de 1767 malgré les continuelles battues (celles de 1765 comptèrent jusqu'à trente mille personnes, paysans pour la plupart). Enfin, le 19 juin 1767, au cours d'une chasse dans les bois de la Ténazeyre, au lieu-dit la Sogne d'Auvers, c'est Jean Chastel (lequel avait été précédemment emprisonné ainsi qu'il a été dit), un homme du hameau de la Besseyre-Saint-Mary, qui abat un animal ressemblant à un loup d'une taille très importante. Par la suite, des romans relatèrent l'histoire, disant cet homme étrange et le soupçonnant de sorcellerie, lui faisant employer une balle bénite. Il est, en revanche, avéré que les agressions cessèrent à compter de cette date.

Les mystères

Outre le fait que la Bête ait fait un nombre considérable de victimes, de nombreux détails la concernant sont curieux :
Sa nature morphologique : c'est très certainement un canidé, mais d'aspect inhabituel. Il pourrait s'agir d'un hybride de chien et de loup (cf rapport du notaire Marin, rédigé dans les heures qui ont suivi la mort de la Bête).
Sa relative invulnérabilité : le manque d'efficacité des armes a fait supposer qu'elle a pu porter parfois une cuirasse, par exemple faite en peaux de sanglier.
Son ubiquité : la bête est aperçue dans un très faible intervalle de temps en des lieux distants de plusieurs kilomètres les uns des autres. Ces distances, bien qu'extrêmes dans certains cas, restent cependant envisageables pour un seul animal.
Sa familiarité, son audace : elle ne semble pas craindre l'homme. Au moins vingt-deux fois, des victimes ont été attaquées en plein village et presque toutes les attaques ont eu lieu de jour.
Son agressivité : la bête ne semble pas attaquer uniquement sous l'impulsion de la faim et fait preuve d'un grand acharnement.
Son agilité : exceptionnelle aux yeux des témoins.
La mise en scène humaine dans certains meurtres (habits disposés près de la victime selon des sources non officielles ni authentifiables).

Tentatives d'explication

Malgré le fait que les sources d'époque soient parfois peu fiables ou mal interprétées, notamment sur les lieux et les scènes exactes des carnages, un certain nombre de points obligent à privilégier un faisceau de probabilités qui dessinent un tableau s'approchant sans doute de la réalité.
L'hypothèse surnaturelle n'est pas prise en compte.
Les agressions ne peuvent pas toutes être l'œuvre d'un homme (toutes les personnes ayant survécu à une attaque ont décrit un animal dans les témoignages authentifiés).
Il semble que les agressions ont diverses origines, attaques classiques de loups, mais surtout attaques d'une bête particulière. On ne peut évidemment exclure, mais cela n'est pas prouvé, des attaques d'un ou de plusieurs criminels profitant du contexte.
L'hypothèse d'une mise en scène dans le cas de la bête tuée par François Antoine (utilisant un loup de taille spectaculaire amené du zoo de Paris) ne repose que sur des conjectures sans preuves. En effet, le zoo de Vincennes est né de l'exposition coloniale de 1931 et la ménagerie du Jardin des Plantes n'a vu le jour que sous Napoléon Ier...
La bête tuée par Jean Chastel pourrait avoir été un animal apprivoisé et entrainé à tuer, selon certaines théories ; en tout cas, sa description est, de toute évidence, celle d'un canidé.
Aucune preuve ne permet d'accuser la famille Chastel ni la noblesse locale qui aurait couvert ses agissements.
L'usage du terme "bête" (au lieu de "loup") par les témoins, alors que cet animal bien connu dans les campagnes de l'époque aurait dû être identifié sans conteste, est plus que troublant. De plus, les loups chassent généralement en meute, et il est admis par les spécialistes que les attaques de loups contre des êtres humains sont très rares. Le loup, même affamé, craint en effet l'humain, surtout s'il est seul face à lui.
Le fait que toutes les victimes n'ayant pas réchappé aux attaques aient été des femmes et des enfants, s'il peut de prime abord faire penser à l'œuvre d'un tueur sadique, s'explique sans doute par les circonstances de l'époque : ces victimes - souvent très jeunes - gardaient seules les troupeaux et constituaient donc des proies plus faciles que les hommes travaillant, eux, la plupart du temps en groupe et munis d'outils (faux, fourche, hache, ...) pouvant aisément se transformer en armes de défense.
Quoi qu'il en soit, Jean Chastel a tué une bête reconnue comme étant LA Bête par de nombreux témoins, y compris des rescapés d'attaques, dont la description mentionne qu'elle fait penser à un loup mais n'en est pas un, et les attaques ont cessé à compter de ce moment...
Pourtant, en 1819, dans un petit fascicule vendu un franc au Jardin des Plantes, on pouvait lire: « Description de ce qu’il y a de remarquable à la Ménagerie et au Cabinet d’Histoire Naturelle, concernant la vie et les habitudes des Animaux féroces qui sont renfermés tant à la Ménagerie que dans la Vallée Suisse : Suivie des Curiosités qui se trouvent au Cabinet d’Histoire Naturelle. Imprimerie J. MORONVAL, Paris, 1819. » aux pages 5 et 6 : « 5. La Hyenne barrée d’Orient.- ... Ce féroce et indomptable animal est rangé dans la classe du loup cervier ; il habite l’Egypte, il parcourt les tombeaux pour en arracher les cadavres ; le jour, il attaque les hommes, les femmes et les enfants, et les dévore. Il porte une crinière sur son dos, barrée comme le tigre royal ; celle-ci est de la même espèce que celle que l’on voit au cabinet d’Histoire Naturelle, et qui a dévoré, dans le Gévaudan, une grande quantité de personnes ». Ce petit fascicule est toujours consultable à la Bibliothèque Centrale du Muséum National d’Histoire Naturelle, 38 rue Geoffroy Saint Hilaire Paris 5 où il est archivé sous la cote : 8° Rés. 48.
Cet animal est donc clairement identifié comme une hyène rayée et non comme un loup. Ce spécimen naturalisé n'est plus présent dans les collections du Muséum National d'Histoire Naturelle. Quid de l'animal "que l'on voit au cabinet d'Histoire Naturelle, et qui a dévoré, dans le Gévaudan, une grande quantité de personnes" ? Le loup tué par François Antoine ? La bête tuée par Jean Chastel ? Le mystère reste entier ...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bête_du_Gévaudan

Les sites qui en parlent:
http://shoes.club.fr/index.htm
http://amilozere.free.fr/lozere/page601.htm#top
http://www.linternaute.com/sortir/sorties/nature/lieux-mysterieux/gevaudan/gevaudan.shtml
http://www.lozere-gite.com/LaBeteGevaudan.html
http://www.biblisem.net/narratio/lenotgev.htm
http://betedugevaudan.free.fr/
http://www.midyloups.com/
http://bdgpointcom.neuf.fr/
http://www.lecros.com/
http://www.alchimia-magazine.com/gevaudan.htm
http://e.tournaire.free.fr/gevaudan/index.html
http://villagederocles.free.fr/labete.html
http://www.aurelle-verlac.com/bete/bete.htm
http://crdp.ac-bordeaux.fr/cddp33/attirelire/valise_pdf/BêteduGevaudan.pdf
http://jeuxsoc.free.fr/index2.php?principal=/b/beteg.htm&param=
http://www.linternaute.com/sortir/sorties/nature/lieux-mysterieux/gevaudan/gevaudan.shtml
http://www.linternaute.com/humour/dossier/06/enigmes-historiques/gevaudan.shtml
http://www.tao-yin.com/bete-gevaudan/
http://perso.orange.fr/cryptozoo/dossiers/gevaudan.htm
http://www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm
http://amilo.perso.orange.fr/lozere/page601.htm

Suivez les sentiers de la Bête du Gévaudan...C'est super !

TOUR PANNESSAC


43000 LE PUY EN VELAY


Ancienne porte royale de la ville (XIIIème siècle) démolie en partie en 1850 pour élargir l'entrée de la rue.L'emplacement de la tour détruite est indiquée par un pavage sur le trottoir.L'Empereur Charlemagne et treize rois de France sont venus en pélerinage au Puy.


CLOITRE DE LA CATHEDRALE N-D DU PUY

C’est à l’occasion des agrandissements de la cathédrale du Puy-en-Velay aux 11e et 12e siècles que fut construit un cloître accolé à celle-ci. Installé au coeur de la cité épiscopale, il était réservé aux chanoines séculiers, qui constituaient le conseil de l’évêque.
Il a subi d’important travaux de restauration au 19e siècle.
Ce cloître roman est rythmé par des arcades polychromes surmontées d’une corniche sculptée et de beaux chapiteaux.
Le mur sud de la salle capitulaire est orné d’une fresque d’inspiration byzantine du 13e siècle représentant la Crucifixion.
La grille de la galerie ouest constitue l’un des plus beaux témoignages de la ferronnerie du 12e siècle.
L’imposant bâtiment des mâchicoulis est en partie ouvert à la visite.

Cette construction militaire sur cinq niveaux était le symbole du pouvoir temporel de l’évêque.Elle était destinée à protéger les chanoines des brigandages seigneuriaux et des révoltes urbaines.

Dans ce bâtiment se trouve un musée d’art religieux créé en 1895 et contenant notamment une belle collection d’ex-voto, des objets liturgiques et des sculptures et bas-reliefs en bois attribués à Pierre Vaneau (17e siècle).
http://cathedrale-puy-en-velay.monuments-nationaux.fr/fr/

En savoir plus :

http://www.routard.com/guide_monument/auvergne/65/cloitre_et_tresor_de_la_cathedrale_du_puy_en_velay.htm http://perso.orange.fr/revue.shakti/clpuy.htm
http://www.logipro.com/velay/monument/cloitre/index.htm

SANCTUAIRE ST JOSEPH D'ESPALY

Tél : 04 71 09 16 71
9 rue Abbé Fontanille
ESPALY-SAINT-MARCEL
43000

A l’emplacement du château du roi Charles VII se dresse le sanctuaire d’Espaly. Ce lieu de pèlerinage à Saint-Joseph est né de la piété d’une femme toute simple, Anne-Marie Buffet, qui aimait à venir prier, à la fin du 19ème siècle, dans les grottes de ce rocher dominant la borne.Un prêtre, l’abbé Fontanille, voyant que des petits groupes venaient, à la suite d’Anne-Marie Buffet, prier en ces lieux, décida d’y établir un sanctuaire. C’est ainsi que naquit le projet de construire une église (dont la façade rappelle l’ancien château féodal) et une statue colossale de Saint Joseph. Elle fut inaugurée en 1913.Chaque année les foules sont nombreuses pour les deux fêtes de Saint Joseph : le 19 mars et le 1er mai.



Les temps forts du pélerinage à saint Joseph à Espaly sont le 19 mars et le 1er mai.Mais les visites ont lieu toute l'année.

ROCHER ET CHAPELLE ST MICHEL D'AIGUILHE

Tél : 04 71 09 50 03
Aiguilhe
LE PUY EN VELAY
43000

Construite au sommet de la cheminée d’un volcan, la Chapelle dédiée à Saint-Michel au 10ème siècle se dresse au nord de la ville du Puy-en-Velay.
En 950-951, l’Evêque du Puy-en-Velay, Gothescalk prend la tête du premier pèlerinage français vers Saint-Jacques de Compostelle. A son retour et avec son encouragement, la construction de la Chapelle commence. Elle est agrandie au XIème et XIIème siècle par une nef en forme de déambulatoire qui s’adapte à la forme du Rocher.

La suite :
http://www.rochersaintmichel.fr/

mais aussi :
http://www.ot-lepuyenvelay.fr/hist/aighuil.html
http://www.logipro.com/velay/monument/aiguilhe/index.htm

De très belles photos sur ce site :
http://romanes.com/Le_Puy/Notre_Dame/

Site prédestiné depuis longtemps aux cultes, le Rocher qui s’unit à merveille avec la Chapelle Romane vous invite à venir découvrir son site chargé d’histoire et de légendes. L’accès étant agréablement aménagé, il vous sera possible d’apprécier la beauté et la difficulté de la construction réalisée il y a plus de 1000 ans et admirée par des milliers de pèlerins et amoureux de l’art.

CATHEDRALE N-D DU PUY

Place du Plot
Le Puy en Velay
43000





La cathédrale Notre-Dame-de-France du Puy en Velay est un monument étonnant, de style roman peu "classique" avec ses différentes influences dues aux apport de l’Orient et de l’Espagne mauresque. Le chœur repose directement sur la roche escarpée du Mont Anis. Construit au IXème siècle, en même temps que la cathédrale, classé monument historique, le cloître est l’un des plus beaux d’Europe.
Lieu de pèlerinage célébré dans le monde entier depuis la nuit des temps, Notre Dame du Puy a contribué à l’essor et à la prospérité de la ville.
Sous le porche, il ne faut pas manquer la mystérieuse "Pierre des fièvres" ou "Pierre des apparitions", cette table volcanique, ancien dolmen d'un lieu de culte païen où la Vierge serait apparue au IIIème siècle de notre ère. Miracles de guérison et phénomènes étranges, il n'en fallait pas plus pour demander à Rome l'autorisation de construire une basilique...




Autre emblème, la statue de la Vierge noire : l'actuelle statue date du XVIIème siècle provient d'une ancienne chapelle ; elle remplace celle ramenée par Saint Louis lors de la septième croisade, que les Révolutionnaires ont brûlé en 1794. Cette statue avait pris la place de la statue primitive réalisée avant l'an mil ; on ne conserve que quelques représentations approximatives de cette statue, connue pour être la plus ancienne Vierge Noire.


De très belles photos sur ce site :
http://romanes.com/Le_Puy/Notre_Dame/

On raconte aussi qu'un cerf (symbole de l'âme aux prises avec les tentations du monde serait apparu pour délimiter dans la neige les traces du sanctuaire. Enfin, des vieillards auraient apporté aux évêques Vosy et Scutaire les premières reliques de la vierge.

Plongez-vous dans le passé et revivez-le ...

ROCHER CORNEILLE - STATUE N-D DE FRANCE



www.ot-lepuyenvelay.fr/
Tél : 04 71 04 11 33
Rue du cloître
43000
LE PUY EN VELAY

L'historique

Le 8 septembre 1855, jour de la fête de la nativité de la Vierge, le général Pélissier est vainqueur durant la guerre de Crimée au siège de Sébastopol.
En signe de gratitude, il conseille à l'évêque du Puy-en-Velay, Mgr de Morlhon, de solliciter auprès de l'empereur Napoléon III quelques-uns des canons pris à l'ennemi pour construire la statue que le diocèse du Puy souhaite dédier à Notre-Dame de France.
Sculptée par Jean-Marie Bonnassieux, la statue, réalisée en fonte de fer à partir des 213 canons pris aux russes à Sébastopol, est édifiée entre 1856 et 1860. La Vierge debout, reine (la couronne) du ciel (les étoiles) et de la terre (l'hémisphère sous ses pieds), symbolise la victoire du Bien sur le Mal (le serpent qu'elle écrase). Elle présente la ville à son fils pour qu'il la bénisse. Le statuaire Bonnassieux dut mettre l'enfant sur le bras droit de la Vierge, élément inhabituel dans la statuaire, permettant à l'Enfant de bénir la ville sans cacher le visage de sa mère.
Le Rocher Corneille d'origine volcanique qui culmine à 757 mètres d'altitude et à 132 mètres au-dessus de la ville, est couronné par la statue monumentale de Notre-Dame de France. Elle mesure 16 mètres (22,70 m avec le piédestal) pour un poids total de 835 tonnes (110 tonnes pour la statue, 680 T le piédestal en pierre et 45 T son revêtement en fer).

Les caractéristiques

La Statue appartient à la Ville du Puy-en-Velay, à laquelle incombent les charges d'entretien, de gardiennage et d'affectation. Les droits d'entrée sont nécessités par les frais importants de la maintenance du rocher et de la statue : travaux,peinture, illumination, billetterie, personnel, etc...
Le droit d'entrée permet l'accès au Rocher, à la plate-forme et à l'intérieur de la Statue jusqu'à hauteur du cou, soit 262 marches à gravir.
Il n'y a pas de fermeture pendant midi. Il est très facile d'accéder à pied à la plate-forme. La montée est aisément accessible. Elle comporte des points de repos, des toilettes, une table d'orientation, un panorama sur la Cathédrale, la ville et la région.

Sculptée par Jean-Marie Bonnassieux, la statue réalisée en fonte de fer à partir des 213 canons de Sébastopol est inaugurée le 12 septembre 1860 devant 120.000 pèlerins.
Elle mesure 16 mètres (22,70 m avec le piédestal) pour un poids total de 835 tonnes (110 tonnes pour la statue, 680 le piédestal en pierre et 45 son revêtement en fer).
Le droit d'entrée permet l'accès au Rocher, à la plate-forme et à l'intérieur de la Statue jusqu'à hauteur du cou, soit 262 marches à gravir.

Faites donc l'ascension, vous m'en direz des nouvelles.

PONT DU GARD

www.pontdugard.fr/
Tél : +33820903330
Remoulins
30210

Des millénaires avant la construction de l'aqueduc romain de Nîmes (1er siècle après JC), le Site du Pont du Gard est habité par l'homme. Nimes est l'une des plus grandes cités des gaules quand elle devient colonie de droit latin, en 45 avant Jésus-Christ.
L'aqueduc de Nîmes, construit entre 40 et 60 après J.C., sous les empires de Claude et de Néron, fut un chantier important qui dura une quinzaine d'années.

Pour en savoir plus :
http://www.pontdugard.fr/

Mais aussi un excellent reportage :
http://www.ils.fr/candi/PdG/presentation.html
Une photo prise il y a quelques décennies.Ca a bien changé depuis.

mercredi 26 septembre 2007

PARC CINEMALIER DU BOUY

Tél : 04 73 82 13 29
CHAMPETIERES
63600
Le parc Zoologique du Bouy se situe sur la D56.Venant de Clermont-Ferrand prendre la D906 direction Thiers puis Ambert et enfin la D56 direction de Champetières (le Puy en Velay) passer devant supermarché CHAMPION.Venant de St-Amant, prendre la D496 direction Ambert, puis la D56 direction Champetières (le Puy en Velay). passer devant supermarché CHAMPION.400 animaux, 40 hectares de parc naturel, 4 km de promenade, spectacles de fauves, mini-ferme pédagogique.






Vous pourrez observer dans de spacieux enclos adaptés aux besoins de chacuns : singes, lémuriens, perroquets, faisans, tigres, lamas, loups répartis en différentes meutes et génération, panthéres, lycaons, renards polaires, autruches, kangourous, cerfs, pumas, serpents, lions etc...Le Parc Cinémalier du Bouy présente prés de 500 animaux sur 50 hectares de prairies et de sous-bois. La promenade s'effectue à pied, dans ce parc merveilleusement boisé et qui sent bon la nature.





Parmi les animaux on compte : des singes, des perroquets, des faisans, blaireaux, lamas, loups, antilopes, chacals, hyènes, des émeus, des cerfs, des chèvres angora, etc...Pendant le saison (juillet-août-septembre) plusieurs spectacles:Un spectacles de fauves dans une trés grande fosse où le dresseur évolue en toute intimité avec ses 2 tigres et ses 4 lions et lionnes. ( 16h)Une présentation des bébés du Parc: un jeune tigre, deux petits lynx et 3 jeunes loups.Présentation juste aprés le spectacle des fauves (17h)Une mini-ferme pédagogique,trés appréciable pour les petits comme pour les grands où vous pourrez évoluer et nourrir vaches, moutons, anes, poneys, chévres, etc... ouverte de 10h à 20h.Spectacles pouvant être annulés pour causes d' intempéries ou de mauvaises conditions de travail pour les dresseur et animaux.




Le Parc Zoologique du Bouy a connu une évolution rapide depuis avril 2002. Après rachat par une nouvelle équipe, il a été nommé Parc Cinémalier du Bouy et Éliane Renat a pris en charge sa direction. Plusieurs enclos et installations ont été rénovés et de nouvelles animations ont été mises en place au cours des dernières années.

Aire de Jeux et de Pique-nique. (Les chiens ne sont pas admis dans le parc.)

Les nouveautés 2007 : La Mare aux capis (capibarras, rongeurs) - Le python Molures...

CHATEAU DE MUROL

Elevé sur un promontoire basaltique au XIIème siècle par la famille de Chambe, c’est à partir de l’an de grâce 1380 que Guillaume de Sam termina la forteresse inférieure, édifia le donjon, la deuxième chapelle et les bâtiments de l’Est reprenant les modes architecturales romanes.Le château, construit à l’intersection stratégique de trois grandes routes, décrit un polygone irrégulier, dont les courtines se prolongent exactement dans les pans taillés du rocher, entièrement empli de terre pour résister à l’artillerie, il est flanqué par des tours bastionnées aux flans en amande percés de canonnières à la française.Traversant de nombreuses guerres, épargné par la politique de désarmement du Cardinal Richelieu et par la Révolution Française de 1789, il demeure aujourd’hui et bien que très abîmé, un chef-d’œuvre de l’architecture militaire médiévale.
En dates :1100 : Les seigneurs de Chambres et de Murol choisissent un promontoire basaltique pour y construire une forteresse.1380 : Guillaume de Sam (de Murol) entreprit sa restauration, il reprit entièrement les fronts Nord et Est, reconstruisit les logis intérieurs, la grande salle et construisit une deuxième chapelle.A partir de 1400 : La forteresse traversa de nombreuses guerres de religion et résista vaillamment à bon nombre d’invasions notamment de la part des Ligueurs.1400 : Le Château devint propriété de la famille d’Estaing lorsque Jehanne de Murol, unique héritière, se maria avec Gaspard d’Estaing, qui redessina de façon monumentale la porte d’entrée du Château.1500 : Leur descendant, François 1er d’Estaing, installa des pièces d’artillerie afin de développer les défenses de la Forteresse.1635 : Le Château fut épargné par la politique de désarmement de Richelieu grâce au prestige de la famille d’Estaing à la Cour.1789 : Le Château fut épargné par la Révolution Française mais il devint une prison puis un repère de brigands.Fin 1800 : Le Château devint propriété de la commune de Murol à la suite d’un don de la famille Chabrol.1956 : Une association prend en mains les destinées du château.1958 : Le Château est classé Monument Historique.1998 : Les Monuments Historiques ont entrepris d’importants travaux de rénovations (charpentes et couvertures notamment) qui se sont achevés au printemps 2002.2006 : La gestion de l’exploitation culturelle et touristique est confiée à la troupe « les Paladins du Sancy », qui propose des animations mettant en scène la chevalerie début du XIVème siècle dans l’enceinte du Château.



Découvrez le Château de Murol, sa nouvelle équipe avec les Paladins du Sancy qui vous propose une nouvelle visite animée. Ils vous feront découvrir une animation ludo-pédagogique qui vous emmènera lors d'un voyage dans le temps, au cœur d'un site exceptionnel parmi les plus visités d'Auvergne.

SAINT ARCONS D'ALLIER

SAINT ARCONS D'ALLIER
43300

Ce village qui fait parti des petites cités de caractère du département, est situé dans un site exceptionnel entre les gorges de la Fioule et de l'Allier. Modèle de restauration de village dans le respect du patrimoine, St Arcons possède aussi un musée du Fer Blanc, unique en France. Quant à l'église dont les arcades s'ouvrent sous de puissants arcs de décharge, elle présente une nef romane très pure aux colonnes basaltiques. Au sud du village, le visiteur pourra faire un détour au paisible village de Pébrac.

EGLISE SAINT-ANDRE


BESSE SAINT ANASTAISE
63610


De la construction romane, il subsiste les trois nefs et le transept. Des voûtes basses, des proportions trapues donnent à cette église de montagne un grand caractère. A remarquer que ce sont des colonnes et non des piliers qui séparent la grande nef et ses bas-côtés, ce qui est assez rare en Auvergne (on le retrouve à Saint Nectaire et à Chauriat).
Les 28 chapiteaux de la nef et de la croisée témoignent de l’ingéniosité des sculpteurs auvergnats : chapiteaux à feuillage très variés et chapiteaux historiés (supplice de Saint André, parabole du mauvais riche, scène de sacrifice...).
C’est dans cette église qu’est placée pendant l’hiver la statue de Notre Dame de Vassivière.
http://catholique-clermont.cef.fr/article.php3?id_article=15
http://www.cyber63.com/communes/besse_et_st_anastaise/index.htm

http://ecoles.ac-rouen.fr/aubin-epinay/Auvergne/Besse_en_Chandesse.htm







Perchée à 1 050 mètres, non loin du magnifique Lac Pavin, la bâtisse romane est dressée à la fin du 12ème siècle. Les chapelles latérales, datant du 18ème siècle, le clocher et l'absidiole du 19ème siècle et le chœur gothique, construit en 1555, témoignent de remaniements successifs. Le monument renferme de beaux chapiteaux ouvragés, représentant thèmes religieux et traditionnels, des stalles, du 16ème siècle, et une remarquable statue de Notre-Dame-de-Vassivière ( (Vierge noire avec son enfant sur les genoux). Chaque été, le 2 juillet, cette statue est montée dans les alpages, à la chapelle de Vassivière, à 7 km à l'Ouest de Besse. Elle est censée y protéger le bétail des orages et autres dangers. Elle est redescendue à l'église de Besse le dimanche suivant le 21 septembre (Fête de la "Dévalade").